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René Perler a étudié le chant à Fribourg, Berne, Londres et Zurich auprès de Jakob Stämpfli, Horst Günter, Rudolf Piernay et László Polgár. Il continue sa recherche de la voix libérée avec Margreet Honig et Mariëtte Nollen. Outre sa formation vocale, il a poursuivi des études de musicologie et d’histoire aux Universités de Fribourg et de Berne (licence ès lettres).

René Perler a travaillé avec des chefs comme Michel Corboz, Andrew Parrott, Livio Picotti, Laurent Gendre, Martin Haselböck et André Ducret. Il se produit dans l’Europe entière, et est notamment invité au Festival da Música Lisboa, aux Folles Journées de Nantes, au Festival des Flandres, au Juillet Musical de St-Hubert, aux
Tage Alter Musik Regensburg, au festival Wien wohltemperiert, au Carinthischer Sommer, aux Feste Musicali per San Rocco (Venise), au Festival de Musiques Sacrées Fribourg, au Festival Bach de Lausanne et à la Nuit romane de Cologne. René Perler été soliste au festival international de chant chorale Europa cantat à Turin et dans la Passion selon Saint- Matthieu avec le choeur de chambre de la radio lettone sous la direction de Hans-Christoph Rademann. Avec des collègues pianistes et chanteurs qui lui sont chers, il fait régulièrement preuve de son amour ardent pour le répertoire du lied et de la mélodie.

Sur la scène, il a été Bartolo dans Les noces de Figaro, Herr Reich dans Les joyeuses commères de Windsor, Nardo dans La Finta Giardiniera et Lo Zio Bonzo dans Butterfly, Colline dans La Bohème ainsi que Tirésias dans OEdipe Roi de Stravinski. Avec l’ensemble baroque Die Freitagsakademie et Neville Tranter, il réalise une tournée avec Acis & Galatée de Händel (rôle du monstre Polyphème) et avec Didon & Aenée de Purcell. Très ouvert à d’autres formes de la scène, il participe à des productions d’oratorio scénique avec gestique baroque (Adamo dans La Vita nella Morte d’Antonio Draghi), à des créations d’opéra (le méchant Holländer-Michel dans Das kalte Herz à Berne) ainsi qu’à une production de Rossini en Bäärndütsch (Basilio dans le Barbier de Séville en singinois).

René Perler est lauréat de plusieurs prix, dont du Pourcent culturel Migros/Fondation Göhner et de la Fondation Glasson et la Fondation Elsner